Nombreux sont les pays qui n’hésitent pas à casser la tirelire pour avoir un bel aéroport, qui sera leur vitrine de prospérité et de modernité. Alors, lesquels ont coûté les yeux de la tête ?
La construction de ce nouvel aéroport avait pour but de renforcer la position d’Istanbul comme un hub incontournable du trafic aérien mondial et de redynamiser l’économie turque. Les 29 milliards de dollars qu’ont coûté les travaux en font actuellement l’aéroport le plus cher mais également le plus grand au monde.
Érigé sur une île artificielle dans la baie d’Ōsaka dans les années 1990, l’aéroport était, à l’époque, le projet de construction le plus cher de l’histoire.
En raison du manque de terrains dans la cité-État, l’aéroport fut construit sur une île artificielle. Il a fallu 6 ans de travaux pour bâtir cet immense aéroport.
Implanté en plein désert, l’aéroport Al Maktoum peine encore à s’imposer dans le club des grands aéroports internationaux. Cependant, de nouveaux investissements sont prévus et la compagnie aérienne Emirates a planifié d’y transférer ses activités entre 2020 et 2030.
Depuis sa mise en service en 1929, cet immense aéroport international a dépensé 10,5 milliards de dollars en travaux ; une grande partie de ce montant concerne les travaux du terminal 4, ouvert en 2008.
Si les premiers bâtiments de l’aéroport de Pékin datent des années 1950, le terminal 3 a été construit en 2008 pour les Jeux Olympiques. C’est cette extension qui a coûté près de 3,8 milliards de dollars et qui hisse la plateforme aéroportuaire dans le top des aéroports les plus chers du monde.
Le coût de construction de l’aéroport de Dubaï était à la hauteur des ambitions du projet : 221 comptoirs d’enregistrement, un hôtel de 5 étoiles, des salles de conférences, des centres d’affaires et une galerie commerciale.
Après 15 ans de planification, et le début des travaux en 2006, l’aéroport aurait dû ouvrir en 2011. Mais, il ne sera a priori pas mis en service avant 2020 voire 2022. Le fiasco de ce chantier aurait déjà coûté environ 403 € à chaque Berlinois…
Une fois n’est pas coutume dans la construction aéroportuaire, le coût final de l’aéroport a dépassé le budget initial de 2 milliards de dollars. Le terminal Jeppesen, avec son toit en fibre de verre blanc, rappelle la forme de tentes ou de montagnes enneigées.
Sa construction date de la fin des années 1990 et a nécessité 25.000 travailleurs. Le parti pris architectural était d’en faire un « aéroport dans la forêt avec une forêt dans l’aéroport ».
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