Si pour certaines personnes voyager en avion est devenu quelque chose d’anodin, pour d’autres cela relèverait presque de la torture. Peurs irrationnelles, troubles du comportements ou mauvaises expériences marquantes, Ector vous dresse la liste des pires angoisses en avion.
Sous cette appellation un peu vague se cache tout simplement la peur de quitter… le sol. La terre ferme. Le plancher des vaches. C’est l’angoisse de ceux qui considèrent – et on peut les comprendre – que se retrouver enfermé dans un tube en acier volant à 10 000 mètres d’altitude n’est pas une situation tout à fait naturelle pour un être humain. Sans repère terrestre, confrontés à un élément qu’ils maîtrisent mal, ces derniers vont avoir tendance à n’envisager que la panne, l’avarie, la chute. En un mot : le crash. Un petit tour dans le cockpit peut néanmoins arranger les choses et éviter de passer le trajet les ongles plantés dans l’accoudoir.
Souvent constatée chez les personnes ayant un poste à forte responsabilité ou habituées à tout contrôler, cette angoisse survient lorsque ces dernières perdent leur mainmise sur les événements, le plus souvent au décollage. Et pour cause : une fois dans les airs, ces habituels décideurs n’ont plus aucune possibilité d’agir sur l’équipage, sur le vol, leurs bagages ou la destination. Et pour ces personnes, se retrouver en incapacité de contrôler quoique ce soit suffit pour générer un stress profond. Parler au pilote peut souvent les rassurer et leur redonner confiance durant le vol.
C’est le coup classique : pendant des années, ces usagers vont pouvoir voyager en avion sans aucun souci et puis un jour, un incident, des turbulences un peu trop fortes ou une panne vont venir perturber leur vision idyllique des transports aériens. Dès lors, le souvenir de cette mauvaise expérience va les poursuivre au point de leur provoquer des crises d’angoisse dès l’embarquement.
Plus que l’altitude ou les risques d’accident, c’est l’avion en lui-même – et l’espace de vie à l’intérieur de ce dernier – qui aurait tendance à angoisser les “spatiophobes”. Loin de chez eux et de leur habituel confort, la simple idée de partager un espace restreint et mal ventilé avec beaucoup d’autres voyageurs de tous horizons et de toutes catégories est une source de stress non-négligeable pour ces personnes. Il s’agit d’une peur proche de la claustrophobie qui peut généralement être traitée grâce à la psychologie comportementale… ou un surclassement en business.
Sans que ce soit forcément lié au vol, certains passagers sont des personnes naturellement stressées qui envisagent le pire dans la majorité des circonstances. Pour eux, prendre l’avion est une épreuve douloureuse, surtout lorsque l’on pense à tout ce qui pourrait mal se passer. Dépressurisation, ouverture de la porte, explosion d’un moteur, détournement… Même si ces événements n’arrivent qu’en de très rares occasions, les plus anxieux les envisageront invariablement comme fortement possibles. Pour plus de sérénité avant le départ, ils peuvent éventuellement commencer par faire appel à Ector pour veiller sur leur voiture pendant leur voyage. C’est toujours ça de pris.
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